Tu crois pas si bien dire, James Hadley Chase

Édition Gallimard (carré noir),
1991, 246 p
Note attribuée :  7/10 

Quatrième de couverture : Jerry Stevens, acteur de second plan en chômage, se voit proposer un engagement de 1000 dollars par jour pour incarner John Ferguson, un des types les plus riches du monde. Pas à l'écran, mais dans la vie. C'est afin de permettre à l'homme d'affaires de conclure un marché en secret, sans être harcelé par ses concurrents et les journalistes. Stevens accepte ce rôle de « doublure ». Mais le fabuleux cachet cache la pilule. S'il entre dans la peau du personnage, il sombre en même temps dans un cauchemar d'intrigues, de meurtres, et risque de perdre la vie sous l'identité d'un autre. Petit rôle, on n'est pas grand-chose, soit, mais quand même !

Avis : C'est ma première critique consacrée à un roman de James Hadley Chase. Cet écrivain anglais 
 quasiment méconnu de nos jours  en a écrit 89 (plus un recueil de nouvelles).  

Concernant ce livre, on retrouve l'empreinte littéraire de Chase : un style fluide et sans fioritures. Une grande partie du roman est consacrée aux dialogues et à l'action, le peu qui reste est descriptif.

L'intrigue est plutôt originale et le processus d’empathie fonctionne bien compte du fait que le récit est à la première personne et que personnage principal est sympathique. Ainsi, on suit avec une certaine angoisse et quelques frissons les différentes tribulations du protagoniste. 

Seul bémol, la fin qui est un peu décevante car laisse l'histoire en suspens. Un chapitre de plus n'aurait pas été de trop.

Conclusion : Bon livre. Ce n'est pas le meilleur roman de Chase, mais reste un bon divertissement.

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